Tchétchénie
capitale: Grozni
Général Dassaiev, premier Président. Assassiné par les troupes Russes qui lancèrent un missile téléguidé par son téléphone satellite.
Le général Masdarov lui succéda.
La résistance (boieviki) remporta initialement de grands succès sur les troupes russes qui firent venir petit à petit les Omon et des détenus de droit commun à qui furent promis liberté, argent et impunité sur ce qu'ils pourraient commettre de crimes contre les civils.
Petit à petit les divisions et trahisons entre boieviki - tradition locale- aidèrent les russes à reprendre le dessus.
Chamil Bassaiev fut un des grands chefs de la résistance, mais, opposé petit à petit au chef élu, il s'allia par intérêt à Ibn al-Khattab, un wahabite Saoudien, qui fut le premier à faire entrer l'intégrisme islamisme dans le pays et mêla à la lutte purement indépendantiste un aspect religieux (gazavat, guerre sainte en Tchétchène).
Bassaiev est généralement considéré comme le chef de l'opération au théâtre de Moscou et à l'école de Beslan
De fortes présomptions pèsent sur une connivence entre Bassaiev et Poutine sur l'origine de certains attentats à Moscou avant l'élection de ce dernier.
L'actuel Président, Ramzan Kadyrof, né en 76, fils d'un chef de gang et mufti "retourné" en faveur des Russes, Akmad Kadyrof, fut mis en place par Poutine. C'est non seulement un sadique qui prend plaisir à torturer mais aussi un tueur froid, un gangster qui détourne les profits pétroliers, et un autocrate qui fait régner un joug terrifiant sur la population.
Delimkhanof, aujourd'hui membre du parlement russe, fut un de ses compagnons lors de la prise de pouvoir et participa activement aux séances de torture.
Doku Umarov est l'actuel chef du gouvernement en exil.
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